noncé la mort de sa maman, Nicole, 95 ans, en lui rendant un dernier hommage sur scène. Il a révélé avec émotion : « Le soir, elle respirait. Le matin, elle ne respirait plus ».
Sur Instagram, l’ex membre de Téléphone a partagé la nouvelle avec ces mots « Mère de ma tendresse enfantine et de mon esprit d’aventure ». Il a accordé une interview au Parisien et d’après ces derniers, c’est lorsque le chanteur a interprété le poème « Sensation » d’Arthur Rimbaud qu’il a tenu à parler de sa maman :
« Le soir, elle respirait. Le matin, elle ne respirait plus… C’est étrange d’être devant le corps sans vie de quelqu’un qu’on a aimé. Son corps est là, mais elle n’est plus là… « .
Jean-Louis Aubert se confiait justement, il y a quelques jours dans l’émission « Sept à Huit » sur la relation qu’il entretenait avec ses parents et notamment avec son père : « Mon père était très philosophe, très poète et très artiste. Maman était très aventureuse et aimait la sociabilité. Dans les sous-préfectures, j’étais souvent avec le personnel. Ma sœur était comme une maman« .
Le chanteur entretenait une relation très houleuse avec son père au fil des années jusqu’à ce que la situation s’apaise sur le lit de mort du père de l’artiste : « Il m’a pris par la main et m’a dit :
« Je crois que tu as fait ce que j’aurais aimé faire ». C’est le plus beau compliment qu’un père peut faire à son fils, surtout dans ce genre de situation« .
Le chanteur de Telephone sera présent au festival de Ronquières le vendredi 1er août.
L’artiste est de retour avec son album PAFINI, nom qui fait allusion à son envie d’en découdre à nouveau et porte ouverte surtout à de nouvelles salves de chansons.
A l’occasion de la sortie de son dernier album, Jean-Louis Aubert était de passage dans les studios de la RTBF, à la fois sur Classic 21 et sur Vivacité.
Accueilli sur scène par Fanny Gillard pour Classic 21, Jean-Louis Aubert a fait preuve de beaucoup de générosité, a parlé sans langue de bois et a joué quelques titres en acoustique.
Une rencontre à revivre en podcast ci-dessous :
Laisser un commentaire