Le 22 janvier 2024, par Philippe A. Jandrok et Igor Chudov
Nous nous trouvons le plus souvent démunis dès qu’un médecin, s’il est compétent, nous apprend que nous sommes victimes d’une pathologie si particulière qu’il faut un dictionnaire spécialisé pour nous l’expliquer, nous ressortons de son cabinet avec un double sentiment de fierté et de désespoir d’être unique, et d’avoir contracté une maladie exceptionnelle et rare – sans même en comprendre la cause – mais qui fait du patient, un être vraiment exceptionnel.
Si par malheur, dans le diagnostic, le médecin annonce un cancer, maladie que pratiquement tout le monde développera dans sa vie, tant notre corps est empoisonné depuis notre naissance, le patient ajoute :
- M…! Comme mon père, ma mère, mes frères et mes sœurs…, Ooooo Hoooo, c’est bien notre malheur, le cancer est donc héréditaire ? Se demande-t-il.
- Non, il n’est pas héréditaire, même si c’est ce que prétendent les médecins car il n’y connaissent rien, c’est leur façon d’annoncer leur échec et leur incompétence à guérir de la maladie, ce ne sont déjà plus des médecins, mais des prescripteurs de produits toxiques si dangereux, que si ce n’est pas le cancer qui tue le patient, ce sont ces produits qui l’achèveront, et les faux soignants pourront sans la moindre preuve annoncer aux familles des victimes, c’est le cancer qui l’a emporté!
- En fait, s’ils y connaissaient quelque chose, ils auraient éradiqué cette maladie depuis des années déjà. On ne soigne pas une maladie organique avec des médicaments synthétiques, cela ne fonctionne pas, les humains ne sont pas des robots.
- Nous avons la maladie que l’autre n’a pas, la mienne est plus grave que la sienne… se dit la victime du messager de Big Pharma, ça aide à tenir le coup, c’est comme une fatalité inévitable.
Me sera-t-il permis aujourd’hui d’ouvrir ce sujet devant le lecteur où des yeux si délicats ne seront pas offensés par l’objet d’une révélation si funèbre ? Je ne pense pas que des lecteurs et des lectrices doivent refuser d’assister à ce spectacle de la révélation de la science au détriment de l’absence de sa propagation.
- Docteur, venez et voyez où vous avez déposé mon corps, sur cette table glacée qui finit dans la nuit d’un tiroir réfrigéré… êtes-vous certain que c’est la bonne place ?
C’est ce médecin qui a vacciné sa clientèle et qui ordonne qu’on élève la pierre sur la tombe à venir, et qui semble nous dire :
- Venez, et voyez vous-mêmes, vous êtes la victime de la… maladie X…
Voilà la démonstration pratique de la fausse science des médecins et des politiques à laquelle j’obéis, pense le toubib assassin malgré lui, la fausse science qui refuse de voir ce corps mort, comme un objet de sa propre responsabilité et qui regardent le vivant non vacciné comme l’ennemi public N°1, car nous, les non-vaccinés, sommes un sujet de miracle, le témoignage de leurs erreurs dans la continuité historique ; et c’est nous, citoyens misérables, non vaccinés COVID, qui refusons d’accepter ce triste spectacle et qui témoignons de manchot de cette mascarade, de cette imposture scientifique.
Les non-vaccinés COVID sont la preuve vivante du crime des vaccins et de leurs assassins, ils ne peuvent être balayés d’un revers de la main, ils sont, dès lors, désespérément gênants.
Entre toutes les passions et la haine des pourvoyeurs de vaccins, l’une des plus violentes, c’est le désir de s’enrichir, alors que pour moi, homme simple et modeste chercheur, c’est celle de savoir ; et cette curiosité fait que j’épuise mes forces pour trouver quelque secret inouï dans l’ordre de la science, la vraie, ou quelque article inconnu dans les ouvrages de cette même Science.
- « Mais, parmi ces vastes désirs d’enrichir notre entendement par des connaissances nouvelles, la même chose arrive à ceux qui, jetant bien loin leurs regards, ne remarquent pas les objets qui les environnent : je veux dire que notre esprit, s’étendant par de grands efforts sur des choses fort éloignées, et parcourant, pour ainsi dire, le ciel et la terre, passe cependant si légèrement sur ce qui se présente à lui de plus près, que nous consumons toute notre vie toujours ignorants de ce qui nous touche ; et non seulement de ce qui nous touche, mais encore de ce que nous sommes« .
Bossuet, Jacques-Bénigne, « Sermon sur la mort et brièveté de la vie », Édition du Kindle.
Après l’annonce d’un cancer, le patient est tétanisé par l’horrible et détestable nouvelle et il ne cherche même pas à savoir comment il a attrapé ou développé son cancer, il est une victime, il sera soigné par celui qui l’a empoisonné en le vaccinant, et mal soigné, parce que son vaccinateur ne comprend rien à la maladie de son patient, et le comble est qu’il nie en être responsable ; n’oublions pas que ce médecin comme tant d’autres, n’a fait qu’obéir au véritable coupable, l’autre, le laboratoire et l’autre encore, le Forum économique Mondial qui se déroule à Davos chaque année, et à travers la politique du Parlement Européen, puis de celle d’un nain de cour et de sa guenon en France, entourés d’un parterre de déviants et de monstres transformés, c’est la cour des miracles ou Esméralda est un homme et Quasimodo, un trans déguisé en bossu qui claudique vers le soleil en barraguinant des paroles invraisemblables. Davos, est le rendez-vous exclusif des marionnettistes qui contrôlent la politique économique et sociale du monde en plaçant des hommes et des femmes de pouvoir corrompus en lieu et place des présidents et de leurs sinistres.
Si le médecin négationniste de la science véritable a vacciné son patient avec les vaccins COVID, alors, il est à 100% responsable de ses actes criminels, si les pédiatres ont vacciné des enfants devenus cancéreux, ils sont, pour une grande majorité d’entre eux, responsables à 100% de leurs actes criminels, car, les vaccins pour l’enfance aujourd’hui, sont tous ARNm, et les véritables vaccins sont tous bourrés d’ADN d’animaux, ce qui provoque avec tous les adjuvants toxiques et neurotoxiques, des cancers à retardement.
Au XIXe siècle, très peu d’enfants développaient des cancers, depuis la seconde moitié du XXe siècle jusqu’à aujourd’hui, les enfants sont tellement atteints par le cancer, que des cliniques spécialisées dans le cancer des enfants explosent de par le monde. Cela éveille-t-il chez le lecteur une explication ? Un doute, peut-être ? Les vaccins seraient-ils si bons que tous ces imposteurs le prétendent ? Comment des vaccins pourraient-ils êtres des médicaments universels malgré la diversité humaine ?
Vous l’avez compris, les vaccins ne sont pas la science, ils sont une supercherie magistrale, une imposture scientifique avec une rentabilité phénoménale, comme toutes les arnaques des démons de Big Pharma.
- Alors, médecins et politiques, flattez… flattez les imbéciles et les ignorants, ils seront heureux et ils se sentiront protégés en consentant d’obéir sans jamais se poser de questions.
Effectivement, depuis 3 ans, ce sont des millions de naïfs dans le monde qui sont tombés dans le piège tendu par les autorités sanitaires sous le contrôle total des Mondialistes.
Comment ont-ils pu croire un instant que des eugénistes pouvaient leur sauver la vie, qui plus est, avec leur vaccin expérimental ?
Les eugénistes, tels que Bill Gates, la Fondation Rockefeller, le Fondation Soros et autres industriels milliardaires dont le seul objectif est de diminuer la population, ne cessent de le répéter depuis des décennies dans les médias et les conférences privées de leurs actionnaires. Alors, si un de ces assassins de masse prétend sauver la masse, soit l’humanité, avec ses vaccins, vous savez d’emblée qu’il veut en fait l’éliminer et la faire disparaître sous le tapis de ses mauvaises intentions ; il ne peut en être autrement, alors pourquoi des millions de personnes ont-elles accepté de donner leur confiance à de tels criminels ?
Est-ce par excès de confiance ou par naïveté ? Où tout simplement par ignorance ? L’ignorance est l’arme des démons, il est tellement facile de manipuler ceux qui ne savent rien et auxquels le savoir est interdit. Les religions ont été de bons guides pour ce contrôle des masses, toute contestation, toute contradiction et c’était la torture, le bûché, la lapidation, le meurtre officialisé, c’est dire combien de siècles a régné la terreur et combien elle règne encore, puisque la masse est toujours ignorante, malgré internet et les médias sociaux. Il n’est plus tolérable aujourd’hui d’être ignorant.
Cette cause de naïveté essentielle, prend racine dans notre ignorance en la science et dans notre stupidité à croire des vendeurs de vaccins qui affirment que leurs produits sont indispensables à notre survie, en faisant passer leurs mensonges pour une vérité universelle.
Mais, c’est totalement faux, car, c’est le discours d’un communiquant de vendre à n’importe qui, n’importe quoi, oui, et c’est en effet n’importe quoi qui nous a été vendu comme remède à une fausse Pandémie, achetée par Gates à l’OMS à coups de millions de dollars.
Expliquez-moi en quoi un milliardaire actionnaire des vaccins les plus dangereux de la planète, complice des laboratoires Moderna, Pfizer BioNtech et de tant d’autres entreprises et fondations satellites, corromprait l’OMS pour déclarer une pandémie afin d’imposer ses vaccins ??? Il est clair que c’est bien pour les imposer et les vendre en utilisant le mensonge et la corruption. Mais c’est tellement gros, que le criminel en question serait éventuellement un imbécile, qui croit naïvement que personne ne remarquera son crime.
Souvenez-vous que par le passé, des bonimenteurs vendaient des élixirs de villages en villages pour guérir tous les maux, même ceux de l’amour, ils guérissaient le mal de dents, la chaude-pisse et les fractures, ils étaient bons à tout comme ils n’étaient bons à rien, c’est exactement la même chose avec les élixirs/vaccins vendus par les mêmes bonimenteurs et qui n’ont jamais fonctionné, sauf que les vaccins sont bons à une chose et cela fait plus de deux siècles que nous le savons, les vaccins servent à faire du mal, à rendre malade et à tuer, et les bonimenteurs qui s’appellent médecins aujourd’hui et qui ne connaissaient strictement rien aux vaccins COVID et qui ne connaissent pas davantage le moyen de soigner tous leurs patients qu’ils ont invalidés en les vaccinant, parce que les politiques non élus du Forum économique mondial et du Parlement européen leur ont dit que les vaccins COVID étaient indispensables pour lutter contre le Sars-Cov-2, ce qui explique pourquoi il n’y avait aucune notice dans les boites de vaccins, rien sur la composition et les effets secondaires, il était donc nécessaire de cacher la vérité dès le départ de cette « Plandémie ».
Comme nous l’avions indiqué au début de la pandémie sur cogiito.com :
- « Vous verrez, ils vont vous pondre un vaccin qui sera lui-même porteur de la maladie, et nous avions encore une fois… raison.
Le vaccin COVID de Pfizer, de Moderna, sans oublier ceux des autres laboratoires dans la course à l’argent, n’est pas un vaccin, une injection létale. À ce jour nous n’avons pas la moindre preuve que les vaccins COVID sont efficaces, justement, nous avons toutes les preuves du contraire, fournies par le laboratoire Pfizer et les déclarations du PDG de Moderna, et malgré cette connaissance, en France, on s’acharne encore à vacciner contre le COVID-19.
Nos blogs cogiito.com, puis philippejandrok.org ont déjà couvert plusieurs découvertes scientifiques liées aux Vaccins COVID-19, entre autres au « commutateur de classe d’anticorps IgG4 ». Les IgG4 désignent une sous-classe rare et spéciale d’anticorps qui donne l’ordre à notre système immunitaire d’ignorer un agent pathogène plutôt que de le combattre.
Nous avons appris que les vaccinations COVID répétées entraînent une intolérance immunitaire chez les personnes stimulées, ce qui les rend moins aptes à lutter contre les infections répétées.
En clair, les vaccins Covid censés protéger, font tout le contraire, ils invalident le système immunitaire, pire, ils favorisent un parfait retournement de situation ; le système immunitaire d’un vacciné se retourne contre lui-même et considère que tout et rien est un ennemi mortel, que se soit un Sars ou un coronavirus, soit un simple rhume, tout est prétexte à la guerre intérieure, en clair, le vacciné COVID est assassiné, exactement comme l’ont souhaité les mondialistes et aujourd’hui pour ne pas que le mort-vivant n’en prenne conscience, les mêmes assassins veulent le vacciner contre une nouvelle maladie imaginaire, la Maladie X, avec un vaccin, à nouveau expérimental et déjà produit par les mêmes laboratoires qui assassinent des millions d’êtres humains, mais ces vaccinés au cerveau embrumé ne se pose pas encore les bonnes questions, ils ont toujours confiance en leur bourreau, que faire ?
Déjà, nous savons qu’ils sont condamnés, devrions-nous perdre notre temps à les mettre en garde contre ce nouveau poison ?
Nombre d’entre eux ont refusé d’entendre nos mises en garde depuis la fin 2019, ils ont refusé une fois malades de s’intéresser aux protocoles de soins publiés, alors pourquoi nous acharner à tenter de les convaincre aujourd’hui que la maladie X est la prochaine nouvelle arnaque sanitaire ?
« Alors que les anticorps IgG4 peuvent naturellement apparaître dans les allergies en raison de stimulations immunitaires répétées avec des allergènes, ils sont inappropriés pour les agents pathogènes réplicatifs tels que ceux du Sars-Cov-2.
Quelle est la cause de l’apparition de ces anticorps dysfonctionnels chez les personnes stimulées par le COVID ? Le changement de classe des IgG4 a-t-il été provoqué mécaniquement par des injections répétées ou par la nature de la technologie de l’ARNm ?
Une nouvelle étude intéressante, publiée en prépublication, confirme cette suggestion. Elle compare les résultats immunitaires de trois injections de vaccins à ARNm aux effets de trois injections d’un vaccin à base de protéines appelé Novavax.
Les scientifiques ont découvert que, bien que tous les groupes de patients aient reçu trois injections, le changement de classe d’IgG4 ne s’est produit que dans le groupe ARNm.
Par rapport aux patients ayant reçu un vaccin ARNm antérieur, les taux d’IgG3 anti-S étaient nettement plus élevés (>10 fois) après trois ou quatre doses homologues de NVXCoV2373.
En revanche, des taux beaucoup plus élevés d’IgG4 anti-S (>75 fois) ont été observés après une vaccination ARNm répétée, mais pas après trois ou quatre doses homologues de NVX-CoV2373 (Fig. 1A).
L’étude a comparé trois groupes de patients :
- Ceux qui ont reçu trois doses du vaccin ARNm de Pfizer
- Ceux qui ont reçu trois doses du vaccin ARNm Moderna
- Ceux qui ont reçu trois doses du vaccin Novavax COVID (sans ARNm).
Le vaccin Novavax ne contient pas d’ARNm et consiste en une injection de « protéine spike », accompagné d’un adjuvant d’une certaine substance appelée Matrix-M. L’adjuvant a pour fonction de rendre la personne vaccinée malade et de déclencher une réaction immunitaire à la protéine contenue dans l’injection du vaccin. De nombreux autres vaccins administrés par le passé étaient de ce type.
Vous pouvez constater que, par rapport au Novavax, les vaccins ARNm entraînent des taux d’IgG4 des MILLIERS DE FOIS plus élevés :
Que peut-on en conclure ?
Le groupe Novavax, ainsi que les groupes ARNm, a été vacciné trois fois.
Et pourtant, seuls les groupes ARNm présentaient des niveaux élevés d’anticorps IgG4.
Les auteurs de l’étude expliquent :
Des concentrations accrues d’IgG4 ont été associées à l’immunosuppression et à des résultats cliniques médiocres du COVID-19, et bien qu’elles soient généralement considérées comme anti-inflammatoires, elles peuvent contribuer à certains troubles auto-immuns et à des maladies inflammatoires liées aux IgG4. Après une vaccination répétée à l’ARNm, on a observé que les IgG4 passaient de 0,04 % du total des IgG spécifiques au pic du SRAS-CoV-2 après deux doses à 19,27 % après trois doses.
Les auteurs ont donc montré que la technologie de l’ARNm était en cause.
Cette explication datant d’un an montre pourquoi la « tolérance immunitaire » est néfaste lorsqu’un organisme réagit à un virus :
Des erreurs ont été commises avec l’ARNm
La technologie de l’ARNm existe depuis des décennies dans les laboratoires scientifiques et les entreprises en démarrage. Aucune de ses applications n’est devenue un produit approuvé avant la pandémie de COVID.
D’une manière ou d’une autre, les bailleurs de fonds scientifiques et les autorités sanitaires se sont empressés d’adopter cette technologie défaillante pour nous protéger d’une maladie qu’ils ont, par coïncidence, mise au point et financée.
On nous a dit que cette technologie était « sûre et efficace » sur la base d’essais précipités de trois mois. Plus tard, on nous a dit que « des milliards de personnes avaient été vaccinées et que personne n’était mort » – et on nous a interdit de remettre en question les résultats.
C’est alors que les surprises ont commencé.
Environ un an après la vaccination de milliards de personnes, les personnes vaccinées par l’ARNm ont commencé à être infectées et réinfectées beaucoup plus souvent que les personnes non vaccinées ! C’est ce que montre une étude réalisée auprès de 50 000 professionnels de la santé à Cleveland :
L’étude discutée aujourd’hui prouve que le changement de classe d’IgG4 (à l’origine de ce taux accru de réinfections) ne s’est pas produit uniquement en raison du nombre de vaccins reçus.
Ce qui compte, c’est ce qui a été injecté : trois injections d’ARNm ont entraîné des taux d’IgG4 mille fois plus élevés que trois injections de Novavax.
Conflits d’intérêts
L’étude que nous avons examinée aujourd’hui a été financée par Novavax, ce qui justifie une dose normale de scepticisme.
Toutefois, ses conclusions confirment ce dont nous avons discuté à maintes reprises : les vaccins à ARNm provoquent une réponse immunitaire défaillante, ce qui a alimenté la pandémie et l’a aggravée au lieu de l’améliorer.
Je ne suis pas un représentant de Novavax et je ne prendrai jamais un vaccin Covid, quel qu’il soit, y compris Novavax. L’objectif de mon billet est plutôt de souligner la folie et l’irréversibilité de l’imprudence consistant à injecter à des milliards de personnes un nouveau traitement génétique induisant une tolérance qui n’a pas été prouvé.
J’aurais aimé que l’on étudie cet effet avant de forcer des milliards de personnes réticentes à devenir les sujets d’un projet scientifique mal pensé à l’échelle de la planète.
Igor Chudov
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