Description
EN PRÉCOMMANDE JUSQU’AU 18 JUILLET 2025
Et vlan ! Le dernier livre de Philippe Jandrok, un roman d’aujourd’hui, taillé dans le style de Céline, le grand Ferdinand, avec ses mots qui claquent, qui cognent, qui parlent à tous…et pas d’chichis ! Un livre sur notre société, sur cette saloperie de pandémie, une sale affaire, un vrai massacre, que les organisateurs de ce génocide, ces charognards, voudraient voir s’effacer, dans l’oubli ! Mais Ferdinand, lui, il oublie rien, jamais ! Avec sa logique de toubib, sa foutue logique qui pardonne pas, qui traque l’erreur, la moindre faille, parce que ces erreurs, nom d’un chien, elles ont coûté cher, trop cher, aux pauvres bougres de ce monde ! En ouvrant ce roman, tu plonges, tu t’enfonces, dans l’royaume féroce de la littérature, un nouveau « Voyage au bout de la nuit », un périple sans pitié, où la vérité, elle te prend à la gorge, où le mensonge se prend une claque où l’humour noir toujours présent, fait grincer les dents du lecteur.
Oh, vous, les naïfs, les dormeurs, les âmes candides qui croyez encore aux contes lisses de la télé, aux sourires des experts, aux promesses des puissants, approchez, venez, plongez dans le grand mensonge de « Et vlan! », la vérité derrière les masques, les pic-pic et les bunkers, ce roman, pas comme les autres, n’est pas un de ces récits sages pour s’endormir, non, c’est une tempête, un ouragan, un cri qui vous prend aux tripes, qui vous arrache à vos rêves, qui vous jette dans la boue du monde, là où la vérité saigne, où les mensonges puent, où les élites dansent sur nos tombes ! Ce livre, c’est une nouvelle forme, un monstre littéraire, un hybride qui cogne, qui mêle les voix des révoltés, les chiffres des gratteurs, les larmes des brisés, et une fiction qui hurle, qui secoue, qui refuse de vous laisser tranquilles !
Ce n’est pas juste un roman, non, c’est une lame, un miroir brisé, une mosaïque de témoignages, de colères, d’alertes, tissée avec les fils de la réalité et de l’imagination. John Beaudoin, l’ingénieur qui fouille les certificats de décès, il est là, avec ses 500 000 morts, pas tués par ce qu’on prétend, mais par des protocoles, des poisons comme le rem…, des respirateurs qui étouffaient, des ordres venus des bureaux climatisés. Denis Rancourt, le physicien, il balance ses courbes, ses pics de mortalité, brutaux, synchrones, dès l’annonce de la pandémie, pas une vague, non, une exécution, partout où les hôpitaux, devenus charniers, suivaient les règles comme des automates. Et les infirmières qui parlent, elles crachent la vérité, elles racontent : les patients crevaient, pas du coco, mais des isolements, pendant que des ombres en uniformes noirs, sans nom, sans badge, injectaient en douce, menaçaient, faisaient des expériences sur des corps encore chauds. Et puis, il y a les familles, les cœurs déchirés, qui pleurent maris, femmes et même les enfants, ceux qui voulaient un deuxième avis, qui criait « sortez-moi d’ici ! », mais que l’hôpital a cloué sous un respirateur, gavé de rem…, jusqu’à la mort. Simone Gold, médecin, avocate, dénonce la cruauté, apprise, enseignée, imposée : chasser les familles, laisser les mourants seuls, sans un adieu, sans une main d’accompagnement, au nom des règles, des foutus protocoles. Et Sasha Latypova, l’ancienne de Big Pharma, elle arrache le voile des pic-pic, c’est du poison, une arme des eugénistes, héritée de Charles Richet, ce Nobel de 1913 qui a montré comment une pic-pic peut rendre un corps allergique, fragile, stérile, prêt à s’effondrer au moindre œuf, à la moindre cacahuète.
Mais ce roman, c’est pas juste un cri, pas juste une litanie de colères, c’est une forme neuve, un OVNI littéraire qui prend ces voix, ces alertes, ces chiffres, et les tisse dans une fiction qui cogne, qui imagine, qui pousse les ombres plus loin. Les hôpitaux deviennent des forteresses de mort, où des spectres envoyés par des bureaucrates sans visage, orchestrent un massacre méthodique pour nettoyer la Terre des « indésirables », selon les rêves fous d’eugénistes cachés dans les tours de verre. Et le climat, oh, le climat, c’est la grande fable, le conte pour vous tenir en laisse. Cette nouvelle forme de roman, c’est un cri, un collage, un kaléidoscope de rage et de vérité, qui prend les témoignages, les chiffres, les pleurs, et les transforme en une fresque, une épopée de la révolte. Il vous secoue, il vous hurle de douter, de gratter, de ne pas avaler tout cru ce qu’on vous sert, que ce soit les promesses des puissants ou les alertes des lanceurs d’alerte. Parce que, dans ce monde, y’a des vérités, mais y’a aussi des pièges, des rumeurs, des colères qui aveuglent. Ce roman, vous pousse à vérifier, à fouiller, à lire, à comparer, ne laissez personne vous mener en bateau, ni les élites avec leurs jets, ni les rebelles avec leurs cris. Le monde, il est sale, il est dur, il est cruel, mais il est à vous, si vous apprenez à voir clair…
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