Le 25 mai 2023 par Laura Harris
https://www.naturalnews.com/2023-05-25-dna-contamination-sv40-found-in-mrna-vaccines.html
Les vaccins à ARNm contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) de Pfizer et Moderna sont contaminés par de l’ADN.
Le Dr Kevin McKernan, microbiologiste, a découvert des “niveaux inacceptables” de plasmides d’ADN double brin flottant autour des vaccins Pfizer et Moderna.
Sasha Latypova, responsable de la recherche et du développement dans le domaine des produits pharmaceutiques et des dispositifs médicaux, a expliqué les conclusions de M. McKernan lors d’une interview accordée à l’émission :
The Freedom Corner with Peter Sweden” (Le coin de la liberté avec Peter Sweden).
Sasha Latypova a déclaré que la contamination par l’ADN est un problème important parce que les plasmides d’ADN réplicables peuvent envahir les cellules humaines et les bactéries dans l’intestin. Cette invasion peut conduire à la réplication de gènes résistants aux antibiotiques, à la septicémie, au cancer et à d’autres problèmes de santé.
https://petersweden.substack.com/p/unknown-contaminants-in-mrna
Les experts du Conseil mondial de la santé (CMS) ont également confirmé que la contamination par l’ADN des vaccins à ARNm constituait un risque mondial.
Ils ont déclaré que la présence de plasmides d’ADN réplicables dans les vaccins monovalents et bivalents était inacceptable et ont demandé l’arrêt immédiat du programme de vaccination COVID-19.
Outre la contamination par l’ADN, M. McKernan a également découvert la présence d’un promoteur du virus simien (SV40) dans le vaccin ARNm de Pfizer.
Le SV40 présent dans le vaccin n’est qu’un fragment viral, et non le virus entier. Il n’en reste pas moins qu’il présente un risque de provoquer un cancer.
https://naturalnews.com/032854_SV40_polio_vaccines.html
Le SV40 a été initialement trouvé dans les cellules rénales de singes rhésus utilisées pour produire le vaccin antipoliomyélitique inactivé (VPI) et le vaccin antipoliomyélitique oral (VPO).
Lorsqu’il a été découvert qu’il était cancérigène pour les animaux, une loi a été adoptée en 1961 pour interdire sa présence dans les vaccins. (Voir aussi : La véritable histoire du SV40, le virus cancérigène caché dans les vaccins antipoliomyélitiques).
Les vaccins COVID-19 désarment le système immunitaire des gens
M. McKernan a mis en garde contre l’absence de contrôle de qualité dans le processus de fabrication des vaccins Moderna et Pfizer, qui pourrait entraîner des risques tels que :
- l’anaphylaxie,
- la coagulation du sang,
- la résistance aux antibiotiques,
- l’intégration de gènes et
- la production à long terme d’une protéine spike dans l’organisme.
Le Dr Mark Trozzi, médecin et chercheur médical canadien, a appuyé les conclusions de M. McKernan concernant les concentrations élevées d’ADN bactérien dans les vaccins Pfizer et Moderna. Dans l’entretien qu’il a accordé au New American, il a déclaré que toute trace de plasmide bactérien, y compris celui de la bactérie Escherichia coli, aurait dû être éliminée par filtrage dans les derniers lots de vaccins COVID-19 à ARNm.
https://thenewamerican.com/dr-mark-trozzi-severe-risks-of-dna-contamination-of-mrna-covid-shots/
“Chaque fois qu’une contamination par l’ADN, par exemple par des plasmides, se retrouve dans un produit injectable, la première chose à laquelle les gens pensent est la présence d’endotoxine d’E. coli, qui provoque une anaphylaxie chez la personne qui se fait injecter”,
a déclaré M. McKernan.
Par ailleurs, une étude publiée dans le journal du Multidisciplinary Digital Publishing Institute a montré que les protéines de pointe du vaccin COVID-19 inhibent la capacité de l’ADN endommagé à se réparer.
https://www.mdpi.com/1999-4915/13/10/2056/htm
“Si les lésions de l’ADN ne peuvent pas être correctement réparées, elles contribueront à l’amplification de la pathologie induite par l’infection virale”
ont averti les auteurs de l’étude, notant que l’immunodéficience est une conséquence potentielle.
“Si le promoteur du SV40 se trouve devant un oncogène, vous obtiendrez une forte expression d’un gène susceptible de provoquer un cancer. Ce sera un événement très rare, mais il n’est pas nécessaire que beaucoup de ces cellules soient touchées par quelque chose comme cela pour que cela prenne de l’ampleur. Le SV40 a en fait posé problème, bien qu’il s’agisse du génome viral complet, et pas seulement du promoteur, mais cela a déjà posé problème à des programmes de vaccination antérieurs. Le vaccin contre la polio est l’un d’entre eux pour lequel on craignait qu’il n’ait contribué à l’apparition de cancers à la suite de ce vaccin. Le SV40 a donc toujours suscité des inquiétudes”, a déclaré M. McKernan.
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