Par Cogiito.com le 10 mai 2023
Alors qu’en France le président Macron souhaite imposer le Gardasil à tous les jeunes français (filles et garçons), faisons le point le point sur un vaccin d’une mauvaise réputation bien justifiée.
“Je prédis que le Gardasil deviendra le plus grand scandale médical de tous les temps car, à un moment donné, les preuves s’accumuleront pour démontrer que ce vaccin, aussi technique et scientifique soit-il, n’a absolument aucun effet sur le cancer du col de l’utérus et que tous les très nombreux effets indésirables qui détruisent des vies et même tuent, ne servent à rien d’autre qu’à générer des profits pour les fabricants”.
Dr Bernard Dalbergue, ancien médecin de Merck
https://childrenshealthdefense.org/community-forum/2023-ca-ab659/
Votre travail acharné continue de faire d’énormes progrès, et nous sommes presque à la ligne d’arrivée ! Le 12 avril, le projet de loi 659 de l’assemblée californienne (AB 659) – la “loi sur la prévention du cancer” – a été à nouveau amendé, éliminant cette fois l’obligation de vaccination contre le papillomavirus pour les étudiants californiens. Il s’agit d’une nouvelle victoire importante pour la liberté médicale, bien que le projet de loi contienne encore des termes dangereux et intentionnellement trompeurs qui doivent encore être modifiés.
L’AB 659 a été adoptée par la commission de la santé de l’Assemblée le 18 avril et doit être examinée par la commission des crédits de l’Assemblée le 3 mai. Sous sa forme actuelle, le projet de loi “déclare la politique publique” selon laquelle tous les étudiants californiens âgés de 26 ans ou moins “sont censés être entièrement vaccinés contre le papillomavirus” avant leur première inscription dans les universités d’État et les community colleges ou avant que les plus jeunes n’entrent en huitième année d’études.
Cette formulation n’est pas seulement confuse, elle laisse aussi la porte ouverte à l’interprétation par les districts scolaires.
Poursuivons nos efforts pour que la formulation soit modifiée afin de préciser qu’il est recommandé, et non attendu, que les élèves soient vaccinés contre le papillomavirus. La formulation confuse du projet de loi pourrait inciter les élèves qui ne veulent pas se faire vacciner contre le papillomavirus à le faire parce qu’ils croient que c’est obligatoire.
Faits troublants concernant le Gardasil
Le Gardasil, fabriqué et commercialisé par Merck, a reçu l’approbation accélérée de la FDA, ce qui laisse de nombreuses questions sans réponse quant à sa sécurité et son efficacité.
- Le Gardasil ne cible que neuf des 200 souches de HPV.
- Le risque de développer un cancer à cause du HPV est extrêmement rare. Aux États-Unis, les nouveaux cas de cancer du col de l’utérus toucheront environ 0,8 % des femmes et environ 0,2 % des personnes se verront diagnostiquer un cancer de l’anus au cours de leur vie.
- Le cancer du col de l’utérus est largement traitable s’il est détecté à un stade précoce.
- Des centaines de personnes à travers les États-Unis intentent des procès contre Merck, affirmant que Gardasil a provoqué des effets indésirables graves et bouleversants, y compris la mort.
- Depuis 2019, Children’s Health Defense a soutenu plus de 60 actions en justice contre Merck, alléguant que le fabricant de médicaments a sciemment dissimulé les effets indésirables associés à son vaccin Gardasil contre le papillomavirus.
- Le Gardasil peut provoquer des effets indésirables graves et débilitants pour les garçons et les filles, y compris, mais sans s’y limiter :
Une multitude de maladies auto-immunes. - Dysfonctionnement autonome, y compris le syndrome de tachycardie orthostatique posturale (POTS) et l’intolérance orthostatique (OI).
L’insuffisance ovarienne prématurée (IOP) qui entraîne la stérilité. - Le Syndrome de Guillain-Barré.
L’encéphalopathie. - D’autres affections graves, y compris la mort.
Les essais cliniques de Merck sur Gardasil n’ont pas cherché ou testé la prévention du cancer. Il n’est pas prouvé que Gardasil offre une quelconque protection contre le cancer (et encore moins une immunité à vie).
Pour les personnes présentant une infection active par le VPH au moment de la vaccination, des études ont montré un risque accru de 44,6 % de développer un précancer anormal avancé qui n’avait pas été observé avant la vaccination.
Plus de 90 % des infections à HPV ne provoquent aucun symptôme clinique, disparaissent sans traitement et sont éliminées de l’organisme par son propre système immunitaire. (A.C. de Freitas et al.)
Depuis l’introduction de Gardasil en 2006, le nombre de décès dus au cancer du col de l’utérus aux États-Unis n’a pratiquement pas diminué.
Veuillez agir dès maintenant en contactant les membres du comité pour leur faire part de vos inquiétudes quant à la formulation. Demandez-leur de supprimer le mot “attendu” et de le remplacer par “recommandation” afin d’éviter toute mauvaise interprétation du projet de loi. Il doit être clair pour tous les parents et les élèves que le vaccin contre le papillomavirus n’est PAS obligatoire pour les élèves qui fréquentent l’école.
Ce que vous pouvez faire :
- Remplir le formulaire pour envoyer un message aux membres de la commission des crédits de l’Assemblée de Californie.
- Soumettre ou télécharger une lettre détaillée à la commission en utilisant le portail de lettres de position de la législature californienne.
- Organiser une réunion avec votre membre de l’Assemblée de Californie pour lui faire part des faits concernant le HPV et Gardasil et discuter de ce que vous pensez du projet de loi.
- Partagez cette page avec vos amis, votre famille, vos chefs religieux, les administrateurs de l’enseignement supérieur, les directeurs d’école et les membres des conseils d’administration des établissements scolaires et encouragez-les à agir !
- Aidez-nous en faisant passer le message au plus grand nombre possible de personnes.
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